Un nouvelle version du site est visible à l'adresse ci-dessous :

http://ledatomica.mus.free.fr/lam/


C'EST NOUVEAU !

(PAGE MISE À JOUR LE 4 MAI 2016)

Macbeth : production Mnémosyne, co-réalisation LAM.

Mise en scène Edward Berkeley, crééen Octobre au Toursky, reprise fin août au Château de Lourmarin.

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« À gauche, occupant un grand espace, un tréteau, une scène dans la scène, hérissée d'instruments étranges, de micros qui, dans l'ombre ambiante et les ombres portées, donnent une hallucinante impression d'enchevêtrement, de fouillis, de toile d'araignée quelque peu diabolique, surmontée en fond d'une tourelle en tubes métalliques, échafaudage ou sorte de tour de guet de stalag, inscrite plus qu'elle ne délimite un monde inquiétant, puisque occupé par les sorcières qui déborderont sur la scène et le jeu. C'est le règne de Léda Atomica, ses musiciens convertis en sorcières, d'où partent des sons, grésillements, vibrations, hululements, stridences, et même air musette, véritable décor sonore, vêtement et revêtement de l'action d'une grande tension dramatique : une réussite totale. » (Benito Pellegrin)

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Un nouveau ciné-concert est au programme.
En accompagnant une série de films courts, Léda Atomica avec ses OSNI (Objets Sonores Non Identifiés) vous fait découvrir le cinéma muet français d'avant la « der des ders ».

Les pionniers français du cinéma.

Pionniers français du cinéma

La France a participé à l'invention et à l'amélioration des prises de vues cinématographiques, à la projection de ces prises de vues sur grand écran.
Elle a permis aux cinéastes de mettre au point leur langage spécifique, avec l'apport des Frères Lumière, de Georges Méliès, de Léonce Perret et de Max Linder. Tout au long de l'existence du cinéma et des films, la présence des chercheurs et des cinéastes français a été primordiale.

Les frères Lumière furent à l'origine des premiers films. La première projection de 10 films des frères Lumière eut lieu dans le sous-sol d'un café, boulevard des Capucines, le 28 décembre 1895.
Georges Méliès, de 1896 à 1914, réalise près de six cents petits films enchanteurs, mystérieux, naïfs, à la beauté poétique.
Alice Guy, en 1896 avec La Fée aux choux, est la première réalisatrice de l'histoire du cinéma. Réalisant plusieurs centaines de films, elle inaugure ce qu'on appellera plus tard le peplum.

Louis Feuillade est un des plus prolifiques cinéastes français des années 1910. Il est surtout réputé pour ses films à épisodes.
Léonce Perret se singularise par des idées originales de mise en scène. Sa compréhension des techniques littéraires lui permet de jouer avec le
« pendant ce temps », il invente l'ellipse et le flash back.

Émile Courtet, dit Émile Cohl de 1908 à 1923, réalise trois cents films précurseurs en matière de cinéma d'animation. Sa créativité, aussi bien technique qu'artistique en fait l'un des artistes les plus inventifs et les plus importants du septième art.
Jean Durand va ouvrir le comique à l'absurde le plus délirant. Il tourne également en Camargue les premiers westerns français.
Max Linder a imaginé ce qui fera le succès de comédiens comme Charlie Chaplin : le cinéma burlesque.


Tout au long du ciné-concert, entre les films (de 3 à 7 min.), cette mémoire est évoquée par la chanteuse narratrice et s'accompagne d'anecdotes autour de la naissance de cet art nouveau et des aléas rencontrés par ces pionniers.

https://youtu.be/mVK4CN1gVPE
http://youtu.be/G9wdG-7YHBg


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« Les Voix Citoyennes »

Les voix citoyennes

Dans la France de 1954 naissent, dans des familles ouvrières, deux enfants que rien ne prédestine à une carrière artistique.
Par des chemins inattendus, ils entrent dans un monde magique, celui de l’opéra et se découvrent une voix particulière.
Alain Aubin contre ténor - Marie Démon contre alto.
Deux chanteurs mêlent leurs souvenirs et refont l’itinéraire de leur apprentissage dans le monde difficile de l’art lyrique.
Mettant en scène les années 70, le ton oscille entre Tintin et Tout l’univers, naïf et parfois pédagogique.
Le dialogue s’installe entre eux, les fictions s’entremêlent et, peu à peu, en paroles et en musique, s’installe la question du « pourquoi chanter ».
Duo malicieux ou pathétique, avec toujours des incursions dans l’histoire du chant lyrique et de la chanson.


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Spectrum FamillyUn quatuor a faire pâlir de jalousie la famille Adams : THE SPECTRUM FAMILY.

  • Aux commandes, claviers et chant : Phil Spectrum, créateur de Léda Atomica Musique, compositeur pour la rue et la scéne, revient à ses origines Punk Rock avec une hauteur insolente et une énergie à réveiller les morts.
  • En premiére ligne, à la guitare, son fils Tom riffe spectralement, dans la couleur musicale paternelle.
  • Se glissant entre les lignes, mi elfe-mi ange, Lou, la benjamine, est au clavier et aux chants.
  • Val, à la basse, défend les arriéres postes, ensorcelante et sensible.

Dans un tourbillon rock, avec une sérieuse dose d'autodérision, de morgue et de fantaisie se pose un univers trés personnel qui invoque et provoque les esprits du groupe Léda Atomica.

Une petite distribution sauvage se met en place et je vous invite à commander par courrier cette petite bombe du Rock'n'roll.
Le prix du CD est de 15 € port compris, n'hésitez pas à vous jeter sur votre chéquier !
(chéque à l'ordre de Léda Atomica Musique, joignez bien sûr votre adresse postale)

Merci de votre soutien et faites circuler l'info.
Bizz Phil Spectrum

Mon adresse: Phil Spectrum
26 boulevard des Dames
13002 MARSEILLE

Ci-dessous, deux courts extraits (1 min. environ) pour vous faire une idée :-)
« La Chose (La Maison Hantée) » et « Je te hais ».


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Une nouvelle création de « El Kabare »
Satyre et poésie de textes, malice des chorégraphies

« La Bande à Bonnot »

Bande à Bonnot«
La bande à Bonnot », douze chansons, paroles de Boris Vian, musique de Louis Bessières et Jimmy Walter, raconte l'épopée tragique de Jules Bonnot. On y retrouve le style caustique de l'auteur.
Toutes les chansons respirent une tendresse non feinte de Vian pour « Bonnot qui détroussait les encaisseurs » et avait une aversion profonde pour l'injustice de la société de classes.

La bande à Bonnot, groupe d'anarchistes illégalistes, a défrayé la chronique. Leur chef de file, Jules Bonnot, est l'inventeur de l'attaque de banques en voiture (à l'époque des De Dion Bouton 40 chevaux).
De décembre 1911 à avril 1912, par le vol et le crime, ils assènent des coups mortels à une société ronronnante, figée dans ses contradictions et ses injustices sociales.
L'épopée de la bande à Bonnot n'aura duré que quelques mois, le tourbillon fut sanglant et la légende reste immense.

« Pesez les inégalités, les injustices, l'intolérable opulence díune minorité jouissante face à la misère morale et matérielle du plus grand nombre, plongÈédans les gueules du travail qui tue… Oui, voyez tout cela. Scrutez le visage angoissé et grimaçant de notre aimable société… Et vous aurez découvert, en dehors des causes purement accidentelles, la vraie logique et la seule explication des Bandits Tragiques » (Victor Méric)

Que ces idées soient condamnées et l'anarchie largement disqualifiée, l'attitude des bandits a néanmois forcé - la peur du danger éteinte - le respect, au-delà de la morale. Le journaliste Alfred Capus décela, à travers les cris haineux de la foule, la dimension romanesque d'une mémoire à venir : « Qu'on le veuille ou non, qu'on trouve cela immoral ou indécent, il est trop tard : la légende est en train de se former dans l'imagination populaire » (Le Figaro, 20 mai 1912).

« Si tout ce qui précède ne suffit à l'excuser
On y trouve pourtant l'explication de ses méfaits
Depuis qu'elle tourne mal et que la liberté s'effrite
La société a les criminels qu'elle mérite ».

«
La bande à Bonnot »
En 1954, Henri-François Rey écrit le texte et demande à Boris d'en composer les chansons. Le spectacle, à peine montée, est retiré de la circulation, à cause de la censure. Les partitions musicales de Jimmy Wamter se perdent en majeure partie, restent quelques titres devenus célèbres : « Les joyeux bouchers de la Villette », « La java des chaussettes à clous » , « Arthur ». En 1970, sous l'impulsion de Jacques Canetti, l'œuvre est en partie remise en musique par Louis Bessières, façon Opéra de Qua't sous.

El Kabaret
El KABARE

Entourant un pianiste, une douzaine d'acteurs-chanteurs se partage et reprend en chœur les chansons de Boris Vian auxquelles s'associent Ferré, Dimey, Ricet Barrier, Jo Dassin, Bourvil et même Raymond la science.

Choisissant une forme acoustique où la proximité du public, qui devient « partenaire », provoque une situation proche du « cabaret », Le chanteur est aussi acteur et investit la chanson pour lui donner sa juste dimension, son vrai pouvoir. Le texte y a toute sa place et la subversion est de rigueur.
Nous nous confrontons au poème, à la mélodie, au chant qui interpelle aussi bien en salle et qu'en plein air.

Nous n'avons besoin que d'une alimentation électrique et pouvons fournir l'amplification du piano électrique si besoin est.
Lien : http://youtu.be/vKTBPPeA6W8

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