TOUJOURS AU RÉPERTOIRE




FEU DIÈZE
Feu# (photo 1)Co-réalisation
S.O.S / Groupe F

Créé avec les flammeux de
Groupe F * et les percussionnistes de S.O.S, « FEU DIÈZE » est un spectacle où les musiques s'accordent avec les flammes pour une prestation sonore et visuelle.

Sur scène, les artificiers percussionnistes du feu, les mains gantées de métal, jouent de commandes tactiles et déclenchent les flammes.

Les éléments pyrotechniques et le feu s’accordent avec la musique. Le spectacle est une synchronisation de deux arts, si différents et pourtant très complémentaires dans leur beauté.
Il s’agit que Groupe F intervienne au milieu des musiciens, avec eux, jouant avec le feu, du feu jouant le feu.

« Quand la musique met le feu sur scène » (Sud ouest – mardi 12 août 2003)
• « Une performance spectaculaire de sons et de feux » (Libération – samedi 3 Mai 2003 – Italie)
• « Les magies pyrotechniques du Groupe F mêlées aux compositions de SOS » (La Marseillaise – 9 décembre 2001).


Trois titres du spectacle « FEU DIÈZE », co-réalisé avec les pyrotechniciens de Groupe F sont en vente au label : 5 €.

* Le Groupe F est spécialisé
dans la conception et la réalisation
de spectacles pyrotechniques
monumentaux. Ils ont inventé
et développé un système
informatisé de générateurs
de flammes.
Feu# (photo 4)
Feu# (photo 2)
Feu# (photo 3)
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Cie
RICHARD MARTIN
« Et que penser d'un amour qui s'arrêterait avec la mort… »

Poète vos papiers

Oratorio pour un comédien et trois musiciens.

Immortel Léo Ferré. Au fil des années, on à découvert la grandeur du poète anarchiste. Il était chez lui à Marseille et rien d'étonnant à ce que Richard Martin, après lui avoir ouvert maintes fois le Théâtre Toursky, lui rende hommage avec un spectacle articulé autour de textes et de chansons parmi lesquels : Words, Préface, Allende, la Mémoire et la Mer, la Solitude, les Anarchistes.

Accompagné de trois musiciens, dans un dispositif des plus sobre, un récital, un oratorio où l'acteur prend les mots sans gants, fait un pied de nez au langage, à ses détours cocasses, clame des chants d'amour, de revendications, pousse des cris d'alerte et manifeste l'espoir.

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LÉDA
FAIT SON
CINÉMA
Déjà au répertoire : « Nosferatu » et « Faust » de Murneau, « Mabuse, le démon du crime », de Fritz Lang et « Le cabinet du Docteur Caligari » de Robert Wiene mais, si votre cœur chavire pour Piscator, Abel Ganz, Eisenstein ou un autre génie du muet, n’hésitez pas à nos contacter.

Le cabinet du Docteur Caligari de Robert Wiene (scénario Mayer et Janowitz)

Les vrais metteurs en scène de ce film-clef furent moins Robert Wiene que ses décorateurs, trois peintres expressionnistes du groupe berlinois Der Sturm.
« Le studio avait un contingent très limité de courant et de lumière. Et le jour où on nous dit que nous avions épuisé le contingent, trois artistes apportèrent une proposition qui parut absurde et même rétrograde : « Pourquoi ne pas peindre la lumière et les ombres sur les décors pour ce film Caligari ? ».

La conception du décor obligea donc les acteurs à accélérer leurs mouvements lorsqu'ils se trouvaient hors des lignes régulatrices et à s'immobiliser quand leurs poses s'harmonisaient avec celles du tableau.Affiche Nosferatu

Nosferatu, de Franz Murneau

Avec son maquillage excessif, ses griffes, son crâne chauve, ses longues oreilles pointues, sa démarche saccadée, Nosferatu brave le ridicule et organise autour de son personnage une authentique symphonie d'horreur.

NB : Nosferatu a désormais son blog.

Mabuse, le démon du crime, de Fritz Lang

Le Dr Mabuse, qui dit de lui-même : « Je suis la loi », est le grand montreur de marionnettes, celui qui organise dans les coulisses le crime parfait. Son arme favorite est l'hypnose. La conception du monde de Mabuse conduit ce criminel ivre de grandeur, directement à la folie comme une image de notre temps.
Merci au Goethe Institut.

Quelques échos de presse à propos de Nosferatu et de Mabuse :

  • Les musiciens ajoutent aux maléfices noirs et blancs la fulgurance multicolore de leurs improvisations. (La Marseillaise, juin 97) ;
  • À vrai dire c'était une rencontre inévitable : une projection de Murneau accompagnée en direct par Phil Spectrum et Léda Atomica. (Le Méridional, juin 97) ;
  • Suspens ambigu, accents rock, bulles de folies. (La Provence, mars 98) ;
  • Rythmique d'airain, clavier fou et guitares écorchées ponctués soudain par une mélodie de l'aube des temps, alanguie, exangue, la plainte d'amour de Nina, l'accompagnement se marie avec bonheur aux images sans coloriage ni superpositions et sera mené bride abattue jusqu'au chant fatal du coq. (La Marseillaise, mars 98).

Selon les films, Phil Spectrum : clavier, machines - Pascal Ferrari : guitare, drums -Marie Démon : voix , accordéon - Alex Grillo : vibraphone.

Nosferatu a été représenté à Marseille, à l'Espace Julien dans le cadre du festival
« Motus », à Port St Louis au cours des soirées « Vamps et Vampires », à Salon de Provence au « Portail Coucou » et à Lyon en collaboration avec la Cité de l'image dans le cadre des « Skinoks ».
Mabuse a été représenté à Marseille au cinéma « Le Chambord » et à Salon de Provence au « Portail Coucou », à l'initiative de « Made in Ciné ». Également joué à Lyon en collaboration avec la Cité de l'image, « La princesse aux huîtres » d'Ernst Lubitsch et, dans le cadre du festival russe (Théâtre Toursky), «La Maison Kolomna» de Piotre Tsardinin et « Boule de suif » (rélaisateur russe) et « Faust » de Murnau.


Nouvelle création proposée : LES MAÎTRES DU BURLESQUE.

Petit burlesqueComédie, slapstick et inventions musicales, la maison démontable de Buster Keaton et le manoir hanté avec Harold Lloyd, servent de prétexte aux propositions et improvisations de Martial Paoli, Phil Spectrum et Alain Bordes.

Une forme musicale du pur classissisme au bruitisme déjanté, et des instruments uniques. D'autres petits films s'ajoutent à la demande.


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SARAH VAGE
« Le Bar de la femme sans tête »
Cabaret dégénéré de Brecht au Rocky Horror Pictures Show.

3 chanteurs - musiciens - comédiens, clavier, violon et accordéon pour un répertoire électrique ou semi acoustique. Nicolas Zaroff, Cri Delux et Marie Démon sont rodés à toutes les scènes (et même à l'absence de scène). Issus de Léda Atomica, CTR et Emma Peel, on les a entendu dans les bars rock et dans les festivals de musiques novatrices.

Ce cabaret, qui mêle textes et musiques du répertoire et compositions, est un clin d'œil et un hommage aux créateurs que les partisans d'un moustachu-mèchu baptisèrent un jour flamboyant de 1937 du joli nom « d'artistes dégénérés ». Dans une joyeuse causticité, ces décapeurs de vieilles rengaines inventent et réinventent celles des temps futurs.


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ANNA
PRUCNAL
Actrice (on se souvient d'elle aux côtés de Marcello Mastroianni dans « La cité des Femmes » de Federico Fellini), Anna Prucnal est une chanteuse qui nous bouleverse. De formation classique, n'hésitant pas à pousser sa voix jusqu'aux dernières limites, elle est l'interprète de poètes aussi rares que Vladimir Vissotski, Bertold Brecht, Wiltold Gombrowicz, etc.

L'écrivain Jean Lacouture écrit à son sujet : « Elle a surgi parmi nous, venue d'une Pologne encore aux mains sales. Comme un oiseau des tempêtes, mais pas résignée pour un sou… Il y a en elle de la vamp et du gavroche, un oiseau, un nuage, du vent et du rire, et tout ce qui nous parle de liberté, celle qu'on va chercher à la racine des choses, entre deux interdits et deux visas refusés, entre un hôtel minable et un auto-stop du côté du rideau de fer, un censeur à binocle et un impresario stupide. Cet air de dire « M'aimez-vous ? » mais qui dirait aussi « Si vous ne m'aimez pas, allez vous faire voir… », autant d'insolence que de tendresse et de refus de s'incliner et de se prendre au sérieux. Elle préfère se prendre au tragique - à condition d'en rire. Et s'impose une autre présence, celle de la Pologne, du peuple polonais, d'une intelligentsia jaillissante et rebelle… ».
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